mercredi 29 janvier 2014

Animale, la malédiction de boucle d'or.


Quatrième de couverture: 

1832. Blonde, 17 ans, orpheline, vit depuis toujours dans un couvent, entourée de mystères. Pourquoi les sœurs l'obligent-elles à cacher sa beauté troublante ? Qui sont ses parents et que leur est-il arrivé ? Blonde est différente et rêve de se mettre en quête de vérité : il y a au cœur de son histoire un terrible secret.

Et si le conte le plus innocent dissimulait l'histoire d'amour la plus terrifiante ?

Mon avis : 

Ce livre m'attirait beaucoup, du moins sa première de couverture que je trouve juste magnifique, et la phrase d'accroche m'intriguait également. Cela dit, le résumé sur la quatrième de couverture me laisser perplexe. Le fait que l'histoire se passe en 1832, dans un couvent... me donnait guère envie de lire ce livre. Mais après avoir de lu de bonnes critiques, ma curiosité a pris le dessus. Et ça a été une totale surprise pour moi.
J'ai trouvé la première partie un peu mais un tout petit peu ennuyeuse mise à part le récit de Gabrielle de Brances. Puis l'histoire a commencer à me plaire jusqu'à ce que j'arrive à la dernière partie où je refusais de lâcher le livre.
Ce livre est un remake de boucle d'or et j'ai vraiment été très surprise par son originalité. Moi qui aime beaucoup les remake de conte, je n'avais jamais entendu parler d'un sur Boucle d'Or.  Et j'ai trouvé celui là très réussi. L'histoire est de plus en plus addictive. C'est un mélange de fantastique, de fantaisie, de quête et d'amour. Je ne pensais pas aimer autant ce roman mais j'ai vraiment été emporté par l'histoire d'Animale.
J'ai beaucoup aimé le récit dans le récit, d'abord avec le récit de Gabrielle, puis celui de Diacre Ambrogio.
J'ai également beaucoup accroché à l'écriture de l'auteur.
J'ai évidemment adoré l'amour sans conditions qui unit Blonde et Gaspard. Et la fin est simplement géniale.
Je n'ai pas eu de coup de cœur sur ce roman mais ça a été une réelle surprise et j'en garde un très bon souvenir.

Extrait :

«Ce conte-là, c'était le leur, débarrassé des sortilèges du passé. Sans doute serait-il court, sans doute ne se terminerait-il pas bien, mais au moins n'appartiendrait-il qu'à eux de l'écrire jusqu'au bout.»

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